Commentaires de textes

Nous nous fierons d’abord à la « Question préliminaire à tout traitement possible de la psychose » (1) avant d'entrer dans les raisons qui amenèrent Lacan à ôter son privilège au « Nom-du-Père selon la tradition ». Au troisième temps, où nous sommes, il n'y a pas synthèse, ni antinomie, mais plutôt va-et-vient entre les deux perspectives (clinique continuiste et discontinuiste). Cela dit, l'idée fondamentale est que " l'être parlant, comme tel, souffre d'une absence invisible qui est de structure, et qui appelle des suppléances."(2)

Nous travaillerons « D'une question préliminaire à tout traitement possible de la psychose » en sept séquences :

  1. Percipiens et perceptum. (Chapitre I, 1 et 2)
  2. « Truie ! » (Chapitre I, 3 et 4)
  3. Schreber : Phénomènes de code et de message. (Chapitre I, 5)
  4. Schémas L et R (Chapitre II et III)
  5. Nom-du-Père et Métaphore paternelle. (Chapitre IV 1 à 7)
  6. Schéma I. (Chapitre IV, 8)
  7. Déclenchement. (Chapitre V).


 

Nous ferons des « va-et-vient » entre cet écrit de Jacques Lacan et le texte Clinique ironique (3) de Jacques-Alain Miller.

Cartel d'enseignement : Christine Chanudet, Armelle Guivarch, Maryvonne Michel, Christine Rannou.

 

Références bibliographiques : 

(1) Lacan J., D'une question préliminaire à tout traitement possible de la psychose (1957-58), Ecrits, Paris, Seuil, 1966, pp.531-583.

(2) Miller J-A., "En ligne", Du concept dans la Clinique, La Cause du désir, n°80, 2012, p.14.
(3) Miller J-A., "Clinique ironique", L'énigme et la psychose, La Cause Freudienne, n°23, 1993.

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Date de dernière mise à jour : 29/01/2018